AECC = Association pour l’Emergence d’une Culture de la Citoyenneté
Association de jeunes du Secteur 12 de Ouagadougou. Créée en 2003, l’AECC se donne pour mission de susciter chez les jeunes burkinabè une culture de la responsabilité et de l’engagement au service de leur cité notamment les communes. Son chemin de bataille, c’est une gestion participative des collectivités locales, la prise en compte des desiderata des populations dans les programmes des conseils municipaux et leur adhésion aux politiques locales.
AES = Association d’Entraide Sociale
AES est une association née de la volonté des membres de rendre les soins de santé accessibles aux plus vulnérables, de participer et de mobiliser les populations pour un cadre de vie digne.
Africa Peace (www.africa-peace.org)
Organisation des jeunes au service de la paix à travers la promotion/défense des droits de la personne humaine, de la démocratie et de la gouvernance démocratique au moyen du renforcement des capacités, de la recherche et du plaidoyer.
Afrique Jeunesse = Réseau Afrique Jeunesse (afriquejeunesse.africa-web.org/)
Réseau Afrique jeunesse est l’une des premières organisations de jeunes au Burkina Faso. c’est un réseau d’information et de formation des jeunes créé en 1993. Elle s’investit dans dans le renforcement des capacités des mouvement et associations de jeunesse. La formation civique, la lutte contre les fléaux qui menacent la jeunesse, les question d’intégration régionale, etc. sont entre autre des axes de bataille pour le réseau qui a accumulé en une dizaine d’année une expérience en matière de mobilisation de la jeunesse autour de leur quotidien et de l’avenir de l’Afrique.
AiFA/PALOP c’est une ONG de developpement participatif qui travaille dans les domaines de la recherche, formation, capacitation participatives, de la lutte contre la pauvrete, de la reconciliation nationale et réinsertion des ex-combattants et l’échange des experiences.
AJIRE = L’Association des jeunes pour la restauration intégrée de l’environnement
L’Association des jeunes pour la restauration intégrée de l’environnement (AJIRE) a vu le jour le 17 juin 2011 à Dori. Ses domaines d’intervention sont : la restauration de l’environnement, la promotion de l’hygiène et de l’assainissement, la promotion du civisme et le patriotisme, etc.
AJVP = Association de Jeunes Volontaires pour la Propreté
AJVP est un regroupement de jeunes désireux de contribuer à la salubrité de leur quartier. Il travaille dans le domaine d’enlèvement des ordures ménagères.
ARD = Agence Régionale de Développement-Saint Louis
L’A.R.D a pour mission générale l’appui technique aux interventions et initiatives des collectivités locales en matière de développement local
Ses missions:
Appui et facilitation à la planification du développement local ;
Appui à la mise en cohérence des interventions entre collectivités locales d’une même région d’une part et avec les politiques et plans nationaux d’autre part ;
Suivi et évaluation des programmes et plans d’actions de développement local ;
Appui à la maîtrise d’ouvrage des CL ;
Appui à l’exécution des projets et programmes ;
Elaboration et appui à l’exécution et au suivi des contrats de mise à disposition des services extérieurs de l’Etat ;
Elaboration et suivi des contrats plans ;
Appui à l’animation, à la mise en œuvre et au suivi des initiatives des Collectivités locales en matière de coopération décentralisée.
ARD-THIES = Agence Régionale de Développement-Thiès (www.ardthies.org/actu-ard-thies-presentation.html)
L’ARD de Thiès est créée le 27 mai 1999 suite au décret 98/399 du 05 mai 1998 portant création, organisation et fonctionnement des ARD. Ce décret a été modifié en 2006 puis en 2008 par les décrets N°2006-201 du 2 mars 2006 et 2008-517 du 20 mai 2008 . L’Agence a un statut d’établissement public local à caractère administratif. Elle est placée sous la tutelle technique du Ministère de la Décentralisation et des Collectivités Locales (MDCL) et sous la tutelle financière du Ministère en charge des finances.
AROMSED est une association qui s’intéresse aux questions de développement local. Elle s’occupe particulièrement des questions de la salubrité dans la ville de Lomé.
BDD = Bureau Diocésain de Développement
Le BDD travaille à
la vulgarisation de code minier auprès des communautés locales du Territoire de Lubudi avec l’appui de la NDS
l’organisation des cadres de concertation avec les élus et les autorités locales
la cartographie participative des ressources des villages
aux études d’impact sur les droits de l’homme et l’environnement
l’accompagnement des producteurs agricoles dans l’approche agriculture durable (reboisement, recyclage des déchets agricoles et ménager, compostage etc.)
CADEP = Capitalisation et Diffusion D’expèriences Participatives (www.cadep.net)
Le Projet de Capitalisation et de Diffusion d’Expériences Participatives est un programme initié par la FRAO et l’Institut International pour l’Environemment et le Développement et financé par le CRDI;
Le programme couvre 6 communes et communautés rurales réparties entre la Guinée, le Mali et le Sénégal.
Les objectifs poursuivis par la CADEP se situent à trois niveaux:
Expérimenter des démarches d’apprentissage et de capitalisation d’expériences participatives mises en oeuvre par la FRAO et l’IIED Sahel avec les communautés qui allient les méthodes participatives et les ressources des technologies de l’information et de la communication
Créer et animer un espace virtuel de formatage,de diffusion et d’échange d’informations sur des expériences de développement participatif en Afrique Francophone
Procéder à la documentation des processus et procédures de capitalisation et de diffusion mis en oeuvre par le projet, en vue de renforcer les capacités des praticiens du développement participatif en matière de production de contenus et d’échanges d’expériences combinant des approches participatives et l’utilisation optimale des NTIC.
CANADEL = Centre d’Accompagnement de Nouvelles Alternatives de Développement Local (www.canadel.org)
CANADEL a été créé en 1996 et a obtenu sa reconaissance comme association de droit camerounais en 1997. Suite à la loi de 1999 sur les Ongs et son décret d’application, il vient d’obtenir son agréement comme Ong en Novembre 2004 ( l’une des premières quatorze à l’obtenir ). Il a l’ambition de se positionner en Afrique Centrale en étendant ses activités dans d’autres pays. Il travaille, à une expertise et une expérience en développement urbain, décentralisation, développement local et gouvernance locale, développement rural ( accompagnemment des organisations de petits producteurs, accompagnement des communautés rurales et des communes à l’acquisition et gestion des forêts communautaires ), renforcement des acteurs de la société civile, lobbying et playdoyer, participation à l’élaboration des politiques publiques. Le CANADEL est membre de plusieurs comités ministériels pour le compte de la société civile dont notamment celui sur l’initiative PPTE.
CCA-ONG = Conseil de Concertation et d’Appui aux Organisations Non Gouvernementales
Créé en 1984 dans le but d’assurer la coordination des actions sur le terrain et la concertation entre les ONG, le CCA-ONG regroupe 111 ONG nationales et internationales intervenant au Mali.A travers différents programmes développés, le CCA-ONG apporte un appui institutionnel, méthodologique et financier à ses membres et contribue à promouvoir la visibilité des interventions et des acquis. Le CCA-ONG assure également l’interface entre les ONG et le Gouvernement du Mali.
CEFORMAD = Centre de formation en Management et Développement organisationnel (www.ceformad.org)
Le CEFORMAD est spécialiste en:
Formation des cadres des ONG, Entreprises publiques et privées, Administration dans le domaine de Management, Développement Organisationnel, Microfinance, Gestion financière, Gestion des conflits et l’accompagnement à l’autopromotion des initiatives locales de développement
Conseil en développement organisationnel, en management, en coaching et en supervision
Recherche action sur la gestion de la chose publique
CNJ = Le Conseil National de la Jeunesse du Mali
Le Conseil National de la Jeunesse malienne de France est un cadre de concertation, d’orientation, d’accompagnement, et de coordination des actions de la jeunes.
CODEGAB = Comité de Développement et de Gestion d’Ablogamè
Le Comité de Développement et de Gestion d’Ablogamé (CODEGAB) est un comité multi-acteurs à la base du quartier d’Ablogamé à Lomé. Ce comité a la responsabilité des initiatives de développement dans le quartier. Il est impliqué à la mise en oeuvre de tout projet de développement dans le quartier.
COMAJ/G = Coordination des Mouvements et Associations de Jeunes et de Jeunesse du Gourma
La coordination a pour objectif de fédérer tout ce qui est jeune pour un mouvement d’action. La vision de départ du COMAJ/G était de fédérer tout ce qui est jeune et jeunesse du Gourma pour servir de plateforme d’action pour l’ensemble des structures de jeunesse en vue d’afficher un leadership dans le domaine du développement local, du renforcement de capacité, de l’entreprenariat…
Ecodev = ECO-Développement (www.ecodev.mr)
Ecodev est une ong de développement créée en 1999 pour soutenir les acteurs de développement en Mauritanie par la formation et le conseil. Elle travaille essentiellement dans le développement local et l’Environnement
ENDA- Tiers-Monde = Environnement et Développement du Tiers-Monde (www.enda.sn)
ENDA est une organisation internationale qui a pour objectif de:
lutter contre les pauvretés dans leur dimension économique mais aussi sociale, environnementale et politique;
bâtir des alternatives
promouvoir la citoyenneté.
ENDA est constitué de plusieurs entités qui travaillent chacune sur des problématiques spécifiques ayant un lien avec les objectifs de l’organisation
FONGTO = Fédération des ONG du Togo (www.fongto.net)
Ong de développement, de concertation et de partage d’expériences de la famille des ong , de mobilisation et d’organisation de la société civile. La FONGTO est un regroupement d’ong actives dans divers domaines.
GRAD = Groupe de Recherche Actions pour le Développement
Le GRAD est une association libre, apolitique, non gouvernementale, non religieuse, à but non lucratif ouvert à toute personne sans distinction de race, de sexe ni de religion.
Domaines d’intervention : Zones d’intervention :
Education Koulikoro
Hydraulique villageoise Ségou
Crédit Mopti.
Sécurité alimentaire
Gestion des conflits
Appui à la décentralisation.
ICB = INSTITUT DES CULTURES BWA (BLOG : http://bwaculture.wordpress.com/grenier-dexperiences/)
Institut des Cultures Bwa, est une organisation ouverte à toutes les initiatives visant à promouvoir la culture dans le Bwatun (territoire habité par les Bwas du Mali). Il est conçu comme un espace de partage et de découverte, d’échange et de construction de perspectives en vue du développement du Bwatun.
Avec les acteurs, à partir de leurs expériences et de leur engagement il s’agira de contribuer à la mise en place de nouvelles ingénieries au service du Bwatun (une vision globale et inclusive du Bwatun enracinée dans les valeurs sociétales.
L’Institut des Cultures Bwa a comme centre d’intérêt trois secteurs : la promotion du patrimoine culturel, la gouvernance légitime et le développement local.
Pencum Saalum Mi ou Interpenc est la fédération des 8 Pencs (cadre de concertation communautaire) des Communautés Rurales de Kayemor, Médina Sabakh, Ngayène, Paoskoto, Mabo, Diamagadio, Taïba Niassène et Porokhane. Son but est de promouvoir un développement intercommunautaire.
La fédération est née il y a quatre (4) ans suite à des constats qui affectent d’année en année le monde rural en général et le Saloum (Centre Ouest du Sénégal) en particulier. Parmi ces constats il y a :
la pauvreté qui s’éternise de plus en plus dans le monde rural ;
le déficit de concertation entre les organisations communautaires ;
l’absence notoire d’une véritable organisation paysanne qui gère les problèmes des paysans du Saloum ;
la recrudescence des problèmes liés à la mise en place de la campagne hivernale et de la commercialisation de l’arachide.
JIGI = Espoir (www.ongjigi.org)
JIGI (Espoir en français) est créée au Mali le 30 Avril 1991. C’est une ONG à but non lucratif, laïque.
Vision :
JIGI vise à ce que les communautés maliennes se gèrent démocratiquement, prenant en charge leurs problèmes de développement pour une amélioration de leurs conditions de vie.
Domaines d’intervention : Zones d’intervention :
Gouvernance démocratique
Santé Partout en République du Mali.
Environnement présentement à Ségou, Koulikoro et Mopti
Formation
Education
Micro finance.
MDPIN = Mouvement pour la Défense et la Promotion des Intérêts de Nioro
Le MDPIN est de la famille de la société civile qui a pour ambition de participer à la promotion du développement économique et social de la ville de Nioro en favorisant l’éclosion d’une citoyenneté active en particulier chez les jeunes et les femmes
ODJ = Organisation Démocratique de la Jeunesse du Burkina Faso
L’ODJ est une organisation de jeune burkinabé ayant pour objectifs:
1) promouvoir et défendre les libertés démocratiques de la jeunesse ;
2) promouvoir, défendre et protéger les droits démocratiques et sociaux de la jeunesse ;
3) développer l’entraide et la solidarité entre les différentes couches de la jeunesse ;
4) organiser toute activité susceptible de contribuer à l’épanouissement des jeunes ;
5) participer activement à la lutte du peuple burkinabè pour la justice, la liberté, la démocratie et le progrès véritables ;
6) développer la solidarité de lutte avec les jeunes du monde en particulier ceux d’Afrique
PREMI Congo = Protection des Ecorégions des Miombo au Congo
Historique
PREMI-Congo est née de l’initiative de quelques personnes qui ont eu deux sources principales d’inspiration, à savoir, la dégradation avancée de l’environnement du Katanga. Ainsi que l’atelier organisé à Lusaka en février 2002 par le Fonds Mondial pour la Nature (WWF). A ces éléments s’ajoute l’activité industrielle dont l’impact négatif sur l’environnement est de plus en plus inquiétant dans l’Hinterland minier du Katanga. L’atelier de Lusaka fût précédé par celui d’Harare en septembre 2001.
Au cours de ce dernier, 22 régions considérées comme biologiquement importante dont l’écorégion de Miombo furent définies et délimitées. Il s’agit pour la République Démocratique du Congo des régions suivantes : La vallée de la LUFIRA, la dépression de KAMALONDO, les hauts plateaux de KUNDELUNGU et ceux de KIBARA, le lac MOERO, la vallée de LUAPULA et les régions aux alentours des grands centres urbains tels que Lubumbashi, Likasi, et Kolwezi. Toutes ces régions sont situées dans province du Katanga. Devant l’absence d’initiatives de la part des autorités du pays, un groupe de personnes dont les participants aux ateliers de LUSAKA et d’HARARE se réunirent pour créer une organisation non gouvernementale de protection de l’environnement dont l’action se focalisera sur la partie Congolaise des Miombo. Ainsi naquit le 30 mai 2002,la Protection des Ecorégions de Miombo, en sigle PREMI Congo.
PREMI-Congo poursuit les objectifs suivants :
1. Former et informer les acteurs des différents domaines de la vie pour lutter contre la destruction de l’environnement
2. Etablir un équilibre entre l’écosystème productif et l’écosystème conservatif
3. Protéger les nappes aquifères (par des stratégies de mise en défens et reboisement)
4. Vulgariser les techniques alternatives à celles qui détruisent l’environnement.
5. Protéger et conserver les espèces endémiques
6. Valoriser les produits de la forêt claire
7. Concevoir les projets de protection de la nature autour d’un partenariat dans lequel les communautés locales participent activement
8. Créer une banque des données en matière de l’environnement des écorégions de Miombo.
9. Promouvoir la sécurité alimentaire par des méthodes écologiques.
Organisation et fonctionnement
I.1. L’Assemblée Générale :
Organe d’orientation et de décision, se réunit une fois par an. (PREMI Congo compte à ce jour 21 membres, personnes physiques et morales)
I.2. Le Conseil d’Administration (CA)
Est composé de cinq personnes qui se réunissent à la fin de chaque semestre.
I.3. La Coordination
Est le bureau exécutif, elle comprend 7 personnes qui travaillent de manière permanente sous la direction du coordinateur.
PREMI Congo travaille également avec trois antennes au Katanga. ; MALEMBA NKULU, KISENGE et KALEMIE.
PREMI Congo est membre du conseil régional des ONG du Katanga. Nous sommes également membre du réseau ressources naturelles de la RDC (RRN) dont nous sommes Point Focal pour le Katanga. Nous travaillons aussi en partenariat avec diverses organisations : Université de Lubumbashi, Rotary club, Lion’s Club, Conseil régional des ONGD (CRONGD/ Katanga), la FAO, le Programme Alimentaire Mondial, l’ICCN, etc.
Nos réalisations.
Education à la protection de l’environnement ; activité permanente qui consiste à organiser diverses activités de formation et d’informations destinées souvent à la jeunesse ; émissions radio et télévisées, conférence dans les écoles, sur la protection de l’environnement et la connaissance des écorégions Miombo. Des brochures sont en préparation et la première publication est prévue pour décembre 2008. Nous vulgarisons aussi le code forestier, le code minier et le foyer amélioré.
Formation des femmes à la valorisation des produits forestiers non ligneux
Reboisement : depuis 2002, Nous reboisons systématiquement la nappe phréatique de KIMILOLO. Ce reboisement se fait avec les espèces forestières du Miombo. Il a été au début soutenu par le PAM dans le cadre du programme « vivres contre travail ». Depuis 2003, PREMI Congo continue ce reboisement avec ses propres moyens. A ce jour, 100 hectares ont été reboisés. Pour réaliser cette activité, PREMI Congo a mis en place une pépinière des essences forestières à KIMILOLO.
Valorisation des produits forestiers non ligneux ; pour détourner les populations rurales de la coupe du bois, Nous avons commencé un projet de valorisation des produits forestiers non ligneux. Ce projet encadre un groupe d’une vingtaine de femmes du village MIMBULU situé à 22km de Lubumbashi. Il consiste en la transformation des fruits sauvage en vins, gelée et confiture qu’elles peuvent vendre pour augmenter les revenus du ménage et ne palus se résilier à la coupe du bois. Cette activité est actuellement en cours de réalisation.
Foresterie communautaire : depuis 2004, nous travaillons en partenariat avec la FAO dans un projet de mise en œuvre de la foresterie communautaire conformément aux dispositions du nouveau code forestier. Dans ce projet, PREMI Congo à réaliser jusqu’à ce jour : une carte numérique de la chefferie de KAPONDA et du terroir de KIKONKE où le projet se déroule, un mémento sur la valeur marchande des produits forestiers non ligneux et Une étude sur la domestication des quelques produits forestiers non ligneux du Miombo qui ont disparus du Katanga.
Monitoring sur l’état des parcs nationaux et forêts classées du Katanga, lobbying et plaidoyer auprès des autorités et des exploitants miniers pour la défense des droits des communautés locales et peuples autochtones du Katanga menacés par le développement des activités industrielles minières (pollution, délocalisation des populations…)
Pépinière en préparation pour un reboisement à KISENGE dans le District du LUALABA.
Réunion de sensibilisation à la protection de l’environnement dans une école
Cartographie numérique
Dans le cadre du développement de la foresterie communautaire et de la défense des droits des communautés locales et peuples autochtones pygmées, PREMI Congo a mise en place une cellule de recherche et développement qui élabore les cartes des régions concernées par les activités.
SABA = Solidarité pour l’Autopromotion à la Base
ONG Malienne créée en 1995 du besoin d’appui aux populations dans les processus de résolution de leurs problèmes fondamentaux. Intervenant principalement dans les secteurs de l’éducation, la Santé, le Développement économique local. principales compétences: Mise en place et gestion d’organisations communautaires, Diagnostic et renforcement organisationnel et institutionnel, identification et mise en œuvre (appui à la gestion) d’activités économiques,Formation des adultes, alphabétisation, Information Éducation et Communication, la prévention et gestion des conflits, appui au montage de dossiers de financement, mobilisations sociales pour la réalisation infrastructures communautaires.
S.A.C.P.N /CVI - DB = Service de l’Assainissement et du Contrôle des pollutions et des Nuisances
Service technique déconcentré de l’Etat au niveau des collectivités territoriales ( Communes, cercles, régions) crée en 1998 et chargé des missions suivantes:
promouvoir la création d’ouvrages d’assainissement collectifs et indivuduels;
appuyer les collectivités territoriales en matière de gestion des déchets solides et liquides;
Appliquer et veiller au respect des textes législatifs, réglementaires, et normatifs relatif à l’assainissement, aux pollutions et aux nuisances;
assurer l’exécution des programmes de sensibilisation, de formation des citoyens sur les effets néfastes de l’insalubrité, des pollutions et des nuisances sur l’environnement et sur la santé humaine.il est dirigé par un chef de service nommé par le Gouverneur du district sur proposition motivée du Directeur régional. au niveau quartier, il est crée une antenne d’assainissement.
SADRI = Service d’appui au développement régional et intégral (www.sadri.cd)
APERCU HISTORIQUE
En vue de participer au développement du pays, l’ECC (ECZ à cette époque, c’est-à-dire : Eglise du Christ au Zaïre) créa le Groupe Technique Central (GTC) en décembre 1973. Essentiellement centralisé, le GTC était doté de services susceptibles de coordonner toutes les actions de développement à travers le pays. Cette centralisation était justifiée par le souci de conscientiser les forces vives en vue d’obtenir leur participation et leur responsabilisation dans le travail de développement que l’ECC s’est décidée de réaliser.
Devant la lenteur administrative, la conception technocratique des projets, la bureaucratisation du travail que la centralisation développa, l’ECC et les partenaires d’outremer décidèrent de décentraliser le programme par pool d’abord et ensuite en juin 1979, en créant le Groupe technique d’Encadrement Régional (GTER) dans chaque Province (région à l’époque).
Cette décentralisation permit le changement du rôle du GTC et la responsabilisation des GTER pour le développement régional. Le GTC conseillera aux GTER d’organiser et de consolider les Bureaux de Développement Communautaire (BDC) qui devraient les relayer dans leur progression vers la base, la paroisse et le village. Mais cette façon de procéder ne permettant pas de saisir les réalités des bénéficiaires des projets, il sera initié en juillet 1989 une nouvelle façon de concevoir le programme de développement à partir de la base. Et par la suite, le Comité Exécutif National de l’ECC, siégeant dans une session extraordinaire à Kinshasa, du 04 au 08 décembre 1989, dans le souci de réglementer la gestion démocratisée du programme de la participation de l’ECC au développement du pays, adopta les textes portant « Règlement intérieur du programme de participation de l’ECC au développement du pays »
Dans la Province du Katanga (Région du Shaba à l’époque), le GTER est créé le 30 juin 1981, mais il ne deviendra effectivement opérationnel qu’en 1983. Durant des années, le GTER/Katanga est resté un grand bénéficiaire du soutien financier de CHRISTIAN AID et de PAIN POUR LE MONDE. En 1989, avec l’autorisation de la Présidence nationale de l’E.C.C., une délégation Suisse a entrepris de former une équipe de développement organisationnel au sein des GTER.
Après une évaluation, cette délégation recommanda au Comité Exécutif du Synode du Katanga (Shaba) de restructurer le GTER/Katanga. Ce dernier, tenant compte des conclusions de l’évaluation du GTER/Katanga, de la gravité de la situation de la population congolaise en générale et Katangaise en particulier et de la nécessité de redéfinir sa mission, ses objectifs et des stratégies d’approches pratiques et réalistes susceptibles d’avoir un impact positif et réel sur les populations pauvres du Katanga, organisa en décembre 1994 un séminaire atelier qui regroupa les responsables des BDC et les membres de l’équipe du GTER, séminaire à l’issue duquel le GTER/Katanga se mua en Service d’Appui au Développement Régional Intégré (SADRI).
L’importance toujours croissante du SADRI autant que les exigences de ses partenaires financiers imposeront au SADRI de se doter d’une structure de type associatif. Notamment, en accord avec le Service des Eglises Evangéliques en Allemagne pour le Développement (EED), alors son partenaire financier principal, le Cabinet AGESFO, Service d’Appui Local de l’EED auprès de ses partenaires d’Afrique Centrale, réalise un diagnostic organisationnel au SADRI et recommande entre autres l’élaboration des textes organiques et de gestion propres et adaptés.
Considérant toutes ces références structurelles, conceptuelles et méthodologiques, les multiples défis liés au nouveau contexte, les contraintes légales et en vue de doter le SADRI des organes et des textes de base et de gestion pour renforcer son efficacité, les communautés de l’ECC/Katanga, réunies à Lubumbashi, du 28 au 30 janvier 2008, en session extraordinaire du Synode Provincial, instituent le SADRI en une Association sans But Lucratif (ASBL) le 30 janvier 2008, consacrant ainsi formellement le passage du SADRI d’un simple département de développement dudit Synode à une ASBL et une ONGD confessionnelle.
Le SADRI obtient l’autorisation provisoire de fonctionner puis sa personnalité juridique respectivement le 30 juillet 2008 et le 18 octobre 2008.
SECO/ONG = Secrétariat de Concertation des ONG nationales du Mali
Le SECO/ONG a été créé pour coordonner les actions des ONG nationales membres à travers la concertation et la mobilisation des ressources.Il sert de cadre de représentation des ONG nationales au sein des institutions et autres partenaires en vue d’influencer les politiques et programmes de développement au niveau national.
UAEL = Union des Associations des Elus Locaux
Créée en 2003, l’UAEL est une association apolitique, à but non lucratif régie par la loi n°68-08 du 26 mars 1968 portant code des obligations civiles et commerciales du Sénégal. Elle a pour objectifs de :
Favoriser un dialogue constructif entre les associations membres-
Favoriser un dialogue constructif entre les associations membres, l’Etat et les partenaires au développement : ONG, secteur privé, acteurs internationaux de la coopération décentralisée, bailleurs de fonds
Contribuer à la promotion de la décentralisation, de la coopération décentralisée et du développement local
Contribuer à l’harmonisation des interventions des partenaires au développement
Fournir un support technique et administratif notamment en réalisant toute activité permettant aux associations membres de remplir leur mission visant à améliorer la gestion des collectivités locales.