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Mot-clé thématique : gouvernance locale

  • APIC = Association pour la Promotion des Initiatives Communautaires.

    Créé depuis 2000, APIC travaille dans le domaine d’enlèvement des ordures ménagères dans la ville de Lomé. Sur les questions de l’environnement, l’organisation s’intéresse aux questions relatives à l’écotourisme.

  • ASA = Association Nationale des Sciences Administratives

    L’Association Congolaise des Sciences Administratives vise à Contribuer à l’amélioration de l’administration. Elle participe à la recherche, à des études, et aux publications et fait des études sur les différents problèmes de l’actualité.

    Par rapport à la gouvernance, l’organisation fait des études d’évaluation de la décentralisation au Congo, elle vise le développement et la gouvernance locale, la réforme administrative.

  • AVPB = ONG Association Ville Propre Bénin

    ONG spécialisé dan l’environnement;

  • CAOPA = Confédération Africaine des Organisations de la Pêche Artisanale (www.caopa-africa.org)

    • En mars 2010, s’est tenue à Banjul, l’Assemblée Générale Constitutive avec la participation présence des délégués des neuf (09) pays. et Après un partage examen et amendement des textes réglementaires la Confédération Africaine des Organisations Professionnelles de la Pêche Artisanale dénommée CAOPA est née et le Sénégal a été choisi pour abriter le siège. Elle obtiendra plu tard son récépissé après une démarche administrative menée auprès des autorités de ce dit pays par l’arrêté N°010046/NINT/DGAT/DLA-PA du 1-07-2013.

  • CCCQN = Cadre de Concertation des Conseils de Quartier de Nioro du Rip

    Le Cadre de Concertation des Conseils de Quartier de Nioro du Rip est un espace de concertation et de mise en cohérence des actions et des acteurs autour des problèmes de développement des quartiers. Il s’agit aussi d’un cadre de promotion de la citoyenneté et de la démocratie participative locale.

    Les objectifs du conseil de quartier sont :

    • regrouper les populations du quartier autour des enjeux de développement du quartier ;

    • contribuer à la réalisation des projets ayant pour cadre le quartier ;

    • constituer un interlocuteur privilégié pour toute intervention liée à des actions de développement dans le quartier, en lien avec les autorités municipales ;

    • relayer l’information et la communication entre l’autorité municipale, les populations et les partenaires au développement.

    La commune de Nioro du Rip dispose de 6 conseils de quartier (Darou Salam, Médina, Diamaguène, Nouroulaye, Fass HLM et Thiérère) correspondant au 6 quartiers de la ville et c’est cet ensemble qui constitue le cadre de concertation de Quartier de Nioro du Rip.

  • CEDELO = Centre d’Expertises pour la Decentralisation et le Developpement local

    Appui institutionnel, développement local, décentralisation, formation, gouvernance locale

  • CERADE = Centre de recherche et d’aide au développement

    Agée en 2002, oeuvre dans le cadre du renforcement des capacicités des

    acteurs du développement et des communautés à la base,contribue à la promotion de l’insertion socio-professionelle des jeunes, participe à vulgarisation des droit et culture democratique.

  • CGLUA = CITES ET GOUVERNEMENTS LOCAUX UNIS D’AFRIQUE (www.afriquelocale.org/fr/)

    La CGLUA a été créée le 18 mai, 2005 à Tshwane en Afrique du Sud.

    Sa naissance marque l’unification des associations continentales de gouvernements locaux en Afrique.

  • CIRGL ; ICGLR = Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs (www.icglr.org)

    La Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL) a été organisée suite aux nombreux conflits politiques qui ont marqué la Région des Grands Lacs. Le conflit le plus marquant fut le génocide rwandais de 1994, qui occasionna plus de 800.000 victimes et renforça l’instabilité politique en République Démocratique du Congo. La création de la CIRGL résulte de la reconnaissance de la dimension régionale de ces conflits et de la nécessité d’un effort concerté en vue de promouvoir la paix et le développement durable dans la région.

    La CIRGL comprend onze Etats membres, qui sont l’Angola, le Burundi, la République Centrafricaine, la République du Congo, la République Démocratique du Congo, le Kenya, l’Ouganda, le Rwanda, le Soudan, la Tanzanie et la Zambie.

    Les programmes principaux de la CIRGL sont :

    • Paix et Sécurité

    • Démocratie et Bonne Gouvernance

    • Développement Economique et Intégration Régionale

    • Questions Humanitaires et Sociales

    En outre, dans le cadre de son programme sur les questions transversales, la CIRGL aborde les questions liées au genre, à l’environnement, aux droits de l’homme, ainsi qu’au VIH/SIDA. Le processus de la CIRGL est basé sur deux principes, à savoir : l’appropriation du processus par les Etats de la Région des Grands Lacs et le partenariat avec les parties prenantes, en particulier le Groupe des Amis et des Envoyés Spéciaux qui fournissent un soutien financier, diplomatique, technique et politique.

  • GDA = Groupe du Développement de l’Afrique (GDA)

    Le « GROUPE DU DEVELOPPEMENT DE L’AFRIQUE (GDA) » est une organisation non gouvernementale, civile, économique, internationale, développementiste et éducative, composée d’entrepreneurs et volontaires engagés, motivés et responsables de leur propre destin et de celui de l’Afrique, lancée par des jeunes d’Afrique et de sa diaspora depuis le 1er avril 2010 au Mali.

    Il est créé au sein du GDA, trois institutions spécialisées (dont les deux premières sont opérationnelles) à savoir :

    . l’ « Agence du Développement de l’Afrique (ADA)

    . l’ « Université du Développement de l’Afrique (UDA)

    . la « Banque du Développement de l’Afrique (BDA).

    Quatre principes stratégiques développés guident notre pensée et notre action de tous les jours à savoir :

    • La création

    • La valorisation des ressources culturelles

    • L’intégration

    • La synergie des acteurs.

    Notre méthode de développement est basée sur la recherche permanente d’une bonne gouvernance économique qui consiste essentiellement à :

    • Connaître et identifier

    • Communiquer, agir en commun

    • Produire et créer de nouvelles capacités de richesse.

    Dans le cadre du développement de ses actions, le « GROUPE DU DEVELOPPEMENT DE L’AFRIQUE (GDA) » développe des relations de partenariat gagnant-gagnant durable avec différents acteurs des secteurs :

    • Public (Etat, administrations et entreprises publiques, collectivités territoriales, …),

    • Privé (entreprises privées, associations professionnelles, chambres consulaires, …),

    • Civil (associations, ONG, …).

     

    VISION : FAIRE DES ETATS-UNIS D’AFRIQUE LA PREMIERE PUISSANCE

    ECONOMIQUE DU MONDE EN 2050 !

  • GTA-DEGOL

    Le Groupe de Travail et d’Appui à la Décentralisation et la Gouvernance Locale( GTA-DEGOL) est une structure spécialisée qui assure l’appui-conseil,l’assistance technique et l’évaluation des domaine touchant la décentralisation ,plus spécifiquement l’appropriation sociale et à la bonne gouvernance locale.

  • I6 = Initiative 6 (-)

    Initiative 6 est le regroupement de Six Ong de développement mauritaniennes ( Anadelp, Ecodev, Tenmiya, Espoir, Stop Sida, Terre vivante). L’objectif est de mettre en commun les moyens pour mieux contribuer aux débats nationaux.

  • INSLO = Institut du Local

    L’INSTITUT DU LOCAL est un centre d’expertise. Il vient proposer de nouvelles perspectives construites pour la durée et suffisamment crédibles sur les questions locales et, partant, contribuer à faire du local l’espace privilégié pour la refondation de la gouvernance et la promotion d’un véritable développement national.

    La vision de l’Institut du Local est de voir le local devenir l’échelle territoriale d’ancrage de la gouvernance légitime permettant d’ouvrir les voies vers une construction institutionnelle étatique stable et performante et un développement endogène durable, s’appuyant sur les références culturelles partagées, le savoir-faire et les ressources du milieu.

    De cette vision de l’Institut du Local découlent les objectifs suivants :

    • Observer et encourager au niveau local le processus de démocratisation bâti sur une participation active des citoyens;

    • Développer les connaissances et le savoir-faire qui répondent au besoin du développement local ;

    • Contribuer au renforcement des capacités des acteurs de la décentralisation ;

    • Suivre et appuyer les initiatives de développement des collectivités décentralisées à travers la mise à disposition de méthodes, d’instruments techniques et de mécanismes adéquats.

    Les thèses de l’INSTITUT DU LOCAL sont structurées autour de quatre axes que sont :

    1. Les territoires

    2. Les institutions

    3. La culture

    4. Le développement

  • SADRI = Service d’appui au développement régional et intégral (www.sadri.cd)

    APERCU HISTORIQUE

    En vue de participer au développement du pays, l’ECC (ECZ à cette époque, c’est-à-dire : Eglise du Christ au Zaïre) créa le Groupe Technique Central (GTC) en décembre 1973. Essentiellement centralisé, le GTC était doté de services susceptibles de coordonner toutes les actions de développement à travers le pays. Cette centralisation était justifiée par le souci de conscientiser les forces vives en vue d’obtenir leur participation et leur responsabilisation dans le travail de développement que l’ECC s’est décidée de réaliser.

    Devant la lenteur administrative, la conception technocratique des projets, la bureaucratisation du travail que la centralisation développa, l’ECC et les partenaires d’outremer décidèrent de décentraliser le programme par pool d’abord et ensuite en juin 1979, en créant le Groupe technique d’Encadrement Régional (GTER) dans chaque Province (région à l’époque).

    Cette décentralisation permit le changement du rôle du GTC et la responsabilisation des GTER pour le développement régional. Le GTC conseillera aux GTER d’organiser et de consolider les Bureaux de Développement Communautaire (BDC) qui devraient les relayer dans leur progression vers la base, la paroisse et le village. Mais cette façon de procéder ne permettant pas de saisir les réalités des bénéficiaires des projets, il sera initié en juillet 1989 une nouvelle façon de concevoir le programme de développement à partir de la base. Et par la suite, le Comité Exécutif National de l’ECC, siégeant dans une session extraordinaire à Kinshasa, du 04 au 08 décembre 1989, dans le souci de réglementer la gestion démocratisée du programme de la participation de l’ECC au développement du pays, adopta les textes portant « Règlement intérieur du programme de participation de l’ECC au développement du pays »

    Dans la Province du Katanga (Région du Shaba à l’époque), le GTER est créé le 30 juin 1981, mais il ne deviendra effectivement opérationnel qu’en 1983. Durant des années, le GTER/Katanga est resté un grand bénéficiaire du soutien financier de CHRISTIAN AID et de PAIN POUR LE MONDE. En 1989, avec l’autorisation de la Présidence nationale de l’E.C.C., une délégation Suisse a entrepris de former une équipe de développement organisationnel au sein des GTER.

    Après une évaluation, cette délégation recommanda au Comité Exécutif du Synode du Katanga (Shaba) de restructurer le GTER/Katanga. Ce dernier, tenant compte des conclusions de l’évaluation du GTER/Katanga, de la gravité de la situation de la population congolaise en générale et Katangaise en particulier et de la nécessité de redéfinir sa mission, ses objectifs et des stratégies d’approches pratiques et réalistes susceptibles d’avoir un impact positif et réel sur les populations pauvres du Katanga, organisa en décembre 1994 un séminaire atelier qui regroupa les responsables des BDC et les membres de l’équipe du GTER, séminaire à l’issue duquel le GTER/Katanga se mua en Service d’Appui au Développement Régional Intégré (SADRI).

    L’importance toujours croissante du SADRI autant que les exigences de ses partenaires financiers imposeront au SADRI de se doter d’une structure de type associatif. Notamment, en accord avec le Service des Eglises Evangéliques en Allemagne pour le Développement (EED), alors son partenaire financier principal, le Cabinet AGESFO, Service d’Appui Local de l’EED auprès de ses partenaires d’Afrique Centrale, réalise un diagnostic organisationnel au SADRI et recommande entre autres l’élaboration des textes organiques et de gestion propres et adaptés.

    Considérant toutes ces références structurelles, conceptuelles et méthodologiques, les multiples défis liés au nouveau contexte, les contraintes légales et en vue de doter le SADRI des organes et des textes de base et de gestion pour renforcer son efficacité, les communautés de l’ECC/Katanga, réunies à Lubumbashi, du 28 au 30 janvier 2008, en session extraordinaire du Synode Provincial, instituent le SADRI en une Association sans But Lucratif (ASBL) le 30 janvier 2008, consacrant ainsi formellement le passage du SADRI d’un simple département de développement dudit Synode à une ASBL et une ONGD confessionnelle.

    Le SADRI obtient l’autorisation provisoire de fonctionner puis sa personnalité juridique respectivement le 30 juillet 2008 et le 18 octobre 2008.

  • SNV = Organisation Néerlandaise de Développement Cameroun (www.snvcm.org)

    Organisme néerlandais de développement présent dans plusieurs pays, il travaille dans un certain nombre de domaines, la gestion des ressources naturelles, la gouvernance locale, le renforcement des organisations de la socié civile et l’appui au développement du secteur privé.

  • SP/MAEP = Secrétariat permanent du mécanisme africain d’évaluation par les Pairs

    Le secrétariat est chargé principalement du suivi et de l’évaluation des avancées du Burkina Faso en matière de Gouvernance dans le but de contribuer au respect des normes de convergence du MAEP par le Burkina Faso ; d’améliorer l’état de la gouvernance au Burkina Faso et accroitre l’efficacité de l’action publique. Dans cette optique, il a été assigné au Secrétariat permanent du MAEP de promouvoir la transparence de l’action publique, de faire le suivi évaluation de la mise en œuvre des recommandations du MAEP, de participer à toutes les instances et réunions de l’Union africaine, du MAEP, du NEPAD ainsi qu’à toutes les rencontres internationales en relation avec la gouvernance, de sensibiliser de façon permanent la population sur la bonne gouvernance et la citoyenneté.

    Il est structuré comme suit :

    • Le cabinet du secrétaire permanent

    • Un département de la gouvernance démocratique et politique

    • Un département de la gouvernance économique

    • Un département de l’administration et des finances

    • De la communication, des relations publiques et de l’informatique

  • Symbiose

    Organisation d’appui au développement local composée de cadres sénégalais qui militent pour l’avènement de politiques qui consacrent la centralité des populations dans la définition et la mise en oeuvre de leurs programmes et projets de développement.

    Elle dispose d’une équipe pluridisciplinaire ( sociologue, andragogue, linguiste, technicien du développement rural et spécialiste en communication pour le développement) avertie des mécanismes de fonctionnement des formes d’organisation traditionnelle et actuelle des sociétés africaines.

    Elle est riche d’une vingtaine d’années de construction collective d’un développement à la mesure des aspirations des communautés de base dans leurs diversités.

    Elle appelle à une autre manière de penser et de réaliser le développement, en accompagnant le processus de création d’espaces de rencontre, de dialogue et de formulation de programmes et de projets.

    La mise en relation et le développement de partenariat entre différentes collectivités locales sénégalaises et africaines constuent un de ses principes majeurs d’actions.

    Enfin Symbiose appelle à des modes de gouvernance légitime qui parlent aux communautés de base. A cet effet, elle concoure à donner une grande lisibilité aux processus de décentralisation et de responsabilisation des communautés de base.

  • WELCOME-Togo

    WELCOME est une ONG qui travaille depuis longtemps dans des domaines variés touchant aux droits de la femmes, aux droits de l’enfant, au travail domestique et à la gestion des ordures ménagères à Lomé.