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Mot-clé méthode : espace de concertation

  • ASSOAL = Association pour l’Amour du Livre et le Développement Local

    C’est une association appelée à devenir ONG suivant la nouvelle loi qui fait dans le développemen urbain, le développement local, la décentralisation, la citoyenneté, la commmunication à travers le bulletin Capital Soicial et la gouvernance.

  • CCCQN = Cadre de Concertation des Conseils de Quartier de Nioro du Rip

    Le Cadre de Concertation des Conseils de Quartier de Nioro du Rip est un espace de concertation et de mise en cohérence des actions et des acteurs autour des problèmes de développement des quartiers. Il s’agit aussi d’un cadre de promotion de la citoyenneté et de la démocratie participative locale.

    Les objectifs du conseil de quartier sont :

    • regrouper les populations du quartier autour des enjeux de développement du quartier ;

    • contribuer à la réalisation des projets ayant pour cadre le quartier ;

    • constituer un interlocuteur privilégié pour toute intervention liée à des actions de développement dans le quartier, en lien avec les autorités municipales ;

    • relayer l’information et la communication entre l’autorité municipale, les populations et les partenaires au développement.

    La commune de Nioro du Rip dispose de 6 conseils de quartier (Darou Salam, Médina, Diamaguène, Nouroulaye, Fass HLM et Thiérère) correspondant au 6 quartiers de la ville et c’est cet ensemble qui constitue le cadre de concertation de Quartier de Nioro du Rip.

  • C.N.C.R. = Conseil National de Concertation des Ruraux (www.cncr.org)

    Créé en 1993 à la suite d’un forum sur le thème « Quel avenir pour le paysan sénégalais ?, le CNCR est en fait l’aboutissement du rapprochement de sept fédérations nationales d’origines diverses. En 2001 il compte une vingtaine de fédérations représentant l’ensemble des catégories de producteurs du pays. A travers lui, les producteurs ont pu accéder progressivement aux centres de décision et influer sur les décisions prises.

    Le premier des principes fondamentaux affirmés lors de la création du CNCR est le respect et la reconnaissance de l’Etat en tout point. Le second est la reconnaissance de l’existence d’autres acteurs du développement considérés comme des partenaires et enfin les responsabilités des ruraux dans la réalisation de leur développement. Il affirme ainsi sa volonté de se positionner comme partenaire des pouvoirs publics en travaillant sur la base d’un rassemblement des unions et fédérations dont il assure le renforcement des capacités. Les relations rapidement établies avec les pouvoirs publics lui ont permis depuis 1994 de prendre part à l’élaboration de pratiquement tous les programmes de développement rural (concertation tripartite entre Etat, les bailleurs de fonds et les paysans) et dans la mise en oeuvre de certains d’entre eux. il est devenu un partenaire incontournable de l’Etat. Depuis 1997, il est reçu une fois par an par le Président de la République et rencontre régulièrement le Premier Ministre et tous les ministres concernés directement ou non par les questions agricoles.

  • Haut Commissariat à la Gouvernance Concertée (www.gouvernance-benin.org)

    Cette structure joue le rôle d’interface entre les populations, le secteur privé, la société civile et les autorités administratives et politiques.

  • INTERPENC = Pencum Saalum Mi ou Fédération des Pencs des Communautés Rurales de Kayemor, Médina Sabakh, Ngayène, Paoskoto, Porokhane, Taïba Niassène, Diamagadio et Mabo

    Pencum Saalum Mi ou Interpenc est la fédération des 8 Pencs (cadre de concertation communautaire) des Communautés Rurales de Kayemor, Médina Sabakh, Ngayène, Paoskoto, Mabo, Diamagadio, Taïba Niassène et Porokhane. Son but est de promouvoir un développement intercommunautaire.

    La fédération est née il y a quatre (4) ans suite à des constats qui affectent d’année en année le monde rural en général et le Saloum (Centre Ouest du Sénégal) en particulier. Parmi ces constats il y a :

    • la pauvreté qui s’éternise de plus en plus dans le monde rural ;

    • le déficit de concertation entre les organisations communautaires ;

    • l’absence notoire d’une véritable organisation paysanne qui gère les problèmes des paysans du Saloum ;

    • la recrudescence des problèmes liés à la mise en place de la campagne hivernale et de la commercialisation de l’arachide.

  • Laboratoire Citoyennetés (ACE-RECIT) = Association Construisons Ensemble-Laboratoire de recherche sur les Citoyennetés en transformation (www.Labocitoyennetes.org)

    Née de la réflexion de chercheurs et d’acteurs politiques et du développement de différents pays concrètement engagés dans les processus de réformes de l’Etat en Afrique, l’ACE-RECIT opte pour une décentralisation refondatrice de l’Etat (à terme) et moteur du développement local. Elle travaille non seulement sur les espaces actuellement communalisés, mais également sur les espaces communalisables. Elle mise sur l’hypothèse que la rencontre entre politique communale et réalité sociale peut avoir lieu, entraînant avec elle un sentiment d’appartenance et d’adhésion à la commune (nouvelle citoyenneté).

    L’association se considère comme un creuset où s’expérimentent des pratiques nouvelles, des « métiers nouveaux » d’analyse (cadre conceptuel nourri par la recherche) et d’action (façon de construire les négociations permettant de bâtir la cité, façon d’accompagner les acteurs locaux dans ces négociations..).

    L’ACE est constituée de chercheurs et de praticiens qui partagent une sensibilité commune, qui sont convaincus de la fécondité d’un croisement entre la recherche et l’action, et qui sont prêts à tenter l’aventure d’une mutualisation de leurs expériences pour développer progressivement une « expertise collective » nouvelle sur la cité et la citoyenneté.

    L’ACE se donne pour perspective de créer, partager et diffuser cette expertise auprès de différentes catégories d’acteurs, et notamment ceux qui définissent des politiques publiques locales et nationales relatives à la cité (collectivités locales).

  • LDCB = Ligue pour la Défense du Consommateur au Bénin

    Association de Consommateur crée depuis 1998 qui fait de l’éducation, de l’information et de la protection des droits des consommateurs.

    Elle a eu à former aussi les Maires tout au début de leur installation.